- L’augmentation de la productivité dans de nombreuses fermes laitières du Burkina.
- L’émergence d’operateurs aguerris, mettant sur le marché une gamme variée de produits se positionnant à égalité de rapport qualité/prix avec des produits d’importation.
- La promotion de la concertation entre les acteurs de la filière.
- L’existence d’un siège et d’un secrétariat permanent.
- L’existence d’information techniques et commerciales facilitant le travail des opérateurs.
- L’existence d’un réseau de formateurs sur des thèmes d’importance relatifs à :
- · La régie du troupeau
- · La maitrise de l’alimentation du bétail (Culture fourragère)
- · L’amélioration génétique (insémination artificielles etc…)
- · Les bonnes pratiques d’hygiène du lait.